Chanson d’automne
Paul Verlaine
Je pense que l’auteur a choisi ce nom par le poème parce qu’il voudrait utiliser les sentiments que la station d’automne produit dans quelques personnes pour expliquer les siens. Dans le poème, l’auteur parle des sentiments comme la tristesse et la mélancolie et d’autres choses comme les souvenirs.
Bien que quand on regarde le poème on pense qu’il n’y a pas de forme parce qu’il est très petit. Cependant, il est formé avec trois strophes divisé par deux vers d’once syllabes chacun que le faire avoir de sens et signification.
Tandis que dans la première strophe on peut voir qu’il y a seulement 10 mots ; la réalité est que les premières lignes forme once syllabes pour faire la rime avec les autres lignes de la strophe. Par conséquent, un mot est divisé d’une autre forme pour le faire sonner plus longue comme il s’explique ici dessous où on peut regarder que le mot « violons » est divisé en trois en séparant le lettre « o » des lettres « v » et « i ». En plus on peut voir que cette strophe n’a pas de ponctuation et on peut penser qu’il est par remarquer le sentiment exprimé.
En plus on peut regarder aussi que les mots que font de la rime sont « longs » et la terminaison des mots « violons » et « automne ». Dans cette strophe l’auteur parle des sanglots longs et des violons qui peuvent être interpréter comme les sanglots tristes que provoque la musique mélancolique des violons et blesse le cœur.
Les-san-glots-longs
Des-vi-o-lons
De-l’au-tomne
Dans la partie suivante on peut regarder qu’il est formé d’once syllabes sans problème:
Ble-ssent-mon-cœur
Dune-lan-gueur-mo-no-to-ne
Dans la deuxième strophe l’auteur remarque la phrase « tout suffocant » comme résultat de dire la première strophe sans ponctuation. Cette strophe est divisé de la même manière que le première: en deux parties d’once syllabes que finalement faire de la rime ; mais ce fois il y a des virgules pour souligner les sentiments vers les mots. Ici les mots qui fait de la rime par la terminaison sont «suffocant » avec «quand », « «heure » avec « pleure » et « viens » avec « anciens ». Le sentiment que l’auteur transmettre est la mélancolique quand il dit qui se souvient des jours anciens et pleure.
Tout-su-ffo-cant
Et-blê-me,-quand
So-nne-l’heure,
Je-me-sou-viens
Des-jours-an-ciens
Et-je-pleure ;
La troisième strophe a la même structure d’être divisé en deux parties d’once syllabes chacune. Ici on trouve quatre rimes : trois ont fait avec les terminaisons des mots et un a fait avec les mots « pareil » et « feuille » qui ne sont pas a la fin de la phrase. Cette strophe transmettre les sentiments de doute et incertitude quand il dit que le vent l’emporte de deçà et delà mais à la même fois de la résignation. La ponctuation est utilisée pour faire sentir qu’il dit adieux peu à peu.
Et-je-m’en-vais
Au-vent- mau-vais
Qui-m’em-porte
De-çà,-de-là,
Pa-reil-à-la
Feu-ille-morte.
Griselda González©
